Épisode 1 –

Pourquoi passer

au véhicule électrique ?

Avec la lecture interactive, apprenez-en plus sur la recharge en copropriété !

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ℹ️ La quasi-totalité (93 %) des propriétaires de véhicules électriques sont satisfaits, voire très satisfaits, de leur voiture électrique, selon une enquête menée par Ipsos pour l’Avere-France. Près de 9 propriétaires sur 10 estiment avoir été agréablement surpris par les caractéristiques de conduite de leur véhicule électrique.
Parmi les caractéristiques de conduite notables :
  • Accélération instantanée : les moteurs électriques délivrent leur couple maximal immédiatement, offrant une puissance instantanée dès l’appui sur l’accélérateur. Cette réactivité améliore non seulement le plaisir de conduire mais aussi la sécurité, facilitant les manœuvres d’urgence et les dépassements.
  • Conduite fluide : l’absence de boîte de vitesses traditionnelle dans les véhicules électriques permet une conduite plus fluide et intuitive, réduisant la fatigue liée aux changements de rapport fréquents.
  • Conduite à une pédale : une voiture électrique peut se contrôler quasiment exclusivement du pied droit, sans jamais freiner. Seuls les freinages d’urgence nécessitent d’enfoncer la pédale du milieu. Aussi, le freinage régénératif permet de ralentir le véhicule tout en récupérant une partie de l’énergie cinétique pour recharger la batterie. Ce système rend la conduite plus intuitive et contribue à réduire la fatigue, notamment en milieu urbain où les freinages sont fréquents.
  • Absence de vibrations : les véhicules électriques produisent très peu de vibrations.
  • Silence de fonctionnement : les moteurs électriques sont quasiment silencieux, offrant un habitacle serein et une expérience de conduite relaxante.
Ressources :
ℹ️ Le bruit des transports est la principale source de nuisances sonores pour un français sur deux. Un parc automobile de 30 à 50 % électrique conduirait à réduire le bruit de 1,5 décibels en ville (sous 50 km/h) : soit une baisse de près de 40% des émissions sonores ! 
Dès lors, le fonctionnement silencieux du moteur électrique a un effet positif pour le conducteur – en diminuant le stress au volant – mais aussi pour les riverains. 
Ressources :
ℹ️ Une batterie est considérée comme viable pour la mobilité jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus délivrer plus que 80% de l’énergie pour laquelle elle a été initialement conçue. On considère qu’il faut entre 200 000 et 500 000 km pour qu’une batterie atteigne cet état, soit entre 10 et 25 ans d’utilisation !
Contrairement aux croyances, les batteries ne terminent pas à la casse ou dans la nature. Elles sont collectées pour être reconditionnées pour servir de moyen de stockage d’électricité, c’est ce qu’on appelle la seconde vie de la batterie quand celle-ci tombe sous la barre des 80% de capacité. Ensuite, elles sont recyclées afin de réutiliser des matières premières dans de nouvelles batteries.
En Europe, la loi impose depuis 2010 aux entreprises de recycler au moins 50% du poids d’une batterie de véhicule électrique. Ce taux a été élevé à 65 % pour 2025, et le sera de nouveau en 2030 pour atteindre 70 %.
Un recyclage efficace des batteries de véhicules en fin de vie pourrait réduire la demande annuelle mondiale d’extraction minière combinée de lithium, de cobalt, de nickel et de manganèse de 3 % en 2030 et de 28 % en 2050.
Ressources :
> Les batteries de voitures électriques sont un assemblage de cellules en modules. Ceux-ci sont ensuite reliés les uns aux autres et supervisés par un circuit électronique pour être enfin intégrés à la voiture.
ℹ️ Les batteries contiennent un nombre important de matériaux dont l’extraction et le raffinage ne sont pas sans impact. Le débat se focalise souvent sur le lithium et le cobalt nécessaires à la production des batteries. Toutefois, ces deux métaux représentent 4 % du poids moyen d’une batterie. Le cuivre (9%), le graphite (9%), l’acier (9%) et l’aluminium (29%) sont par exemple utilisés en bien plus grandes quantités. Ces problèmes spécifiques aux minerais pour les batteries (des véhicules électriques comme de beaucoup de nos appareils électroniques) doivent être mis en regard des controverses qui portent sur l’industrie pétrolière
Aussi, si l’approvisionnement de certains matériaux utilisés pour la fabrication de batteries peut-être en tension, principalement pour le cobalt, aucun d’entre eux ne fait partie des « terres rares » qui désignent 17 matières précises de la classification périodique des éléments, notamment utilisées depuis 1960 pour la fabrication de nombreux produits comme les ampoules LED ou les aspirateurs.
Ressources : 
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ℹ️ La qualité de l’air aussi s’en trouve améliorée ! 
Contrairement à un modèle thermique, une voiture électrique ne dispose pas de pot d’échappement. De ce fait, en roulant, elle n’émet pas d’émissions de polluants et contribue à améliorer la qualité de l’air en milieu urbain.
L’Agence nationale de santé publique évalue à 40 000 le nombre de décès attribuables chaque année aux particules fines. Lors du confinement de 2020, l’Agence estime que 1 200 décès ont été évités grâce à la diminution de l’exposition au dioxyde d’azote (NO2), liée principalement au trafic routier. Plus de 2 300 décès supplémentaires ont été évités en lien avec une diminution de l’exposition aux particules.
Ressources :

ℹ️ L’analyse du cycle de vie totalise les émissions CO2 engendrées à chaque étape de l’existence de la voiture électrique, de l’extraction des ressources nécessaires à sa fabrication jusqu’à son démantèlement et son recyclage, en passant par son transport et son utilisation.
Au final, sur l’ensemble de son cycle de vie, l’impact environnemental du véhicule électrique est environ 5 fois inférieur à celui d’un véhicule thermique !
Ressources :
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ℹ️ Aujourd’hui, l’autonomie des véhicules électriques est en moyenne de 350 km en conditions réelles d’utilisation. De nombreux modèles milieu de gamme avoisinent les 500 km et certains modèles haut de gamme peuvent même approcher les 900 km d’autonomie !
Il existe actuellement près de 300 modèles de véhicules électriques ou hybrides rechargeables qui répondent à tous les usages : citadines, familiales, berlines, utilitaires, etc.
 
Ressources :
ℹ️ Les bornes de recharge à haute puissance permettent de recharger un véhicule à 80 % de son autonomie en 15 à 30 minutes. Pour un usage quotidien chez soi ou au travail, les bornes de recharge normales rechargent entièrement le véhicule en quelques heures.
Les pouvoirs publics visent à atteindre 400 000 points de recharge ouverts au public d’ici 2030, dont 50 000 points à haute puissance.
Ressources :
ℹ️ Le taux d’accès immédiat, c’est-à-dire la capacité à trouver une borne disponible et non occupée par un autre véhicule, est de 95 % !

Ce chiffre est resté stable ces dernières années, de même que le taux de disponibilité technique (93 %). 

Conseil : Anticipez un temps d’attente supplémentaire pour accéder à une borne disponible lors des jours de pointe, comme lors des départs en vacances.

Ressources :
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Ressources :
Et terminé de se salir les mains à la station-service !
ℹ️ Ni bougies, ni pot d’échappement, ni embrayage… La voiture électrique se révèle beaucoup plus économique à l’usage qu’un véhicule diesel ou essence.
En général, une batterie de voiture électrique peut durer entre 10 et 15 ans, ce qui correspond à environ 1 000 à 1 500 cycles de recharge. Cela permet de parcourir jusqu’à 500 000 kilomètres selon l’utilisation.
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ℹ️ Selon une étude de l’UFC-Que Choisir, l’électrique est systématiquement la technologie la moins coûteuse, en tenant compte de tous les coûts de détention.
Ressources :
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ℹ️ Le droit à la prise permet à tout utilisateur de véhicule électrique ou hybride rechargeable de s’équiper d’un point de recharge sur sa place de stationnement en le raccordant au compteur des parties communes de l’immeuble.
Cette solution atteint vite ses limites : les installations électriques des parties communes ne sont généralement pas conçues pour supporter plusieurs points de recharge, leur puissance étant souvent insuffisante. Sans mise à niveau de l’infrastructure ou du contrat d’électricité, la copropriété risque de subir des coupures répétées et s’expose à des risques sécuritaires, le tableau électrique n’étant plus aux normes.
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